Assurance vie : des rendements prometteurs

Nous ne nous attendions pas à lire plus d'une dizaine d'articles parlant d'evasion fiscale mais les rendements récents en ont fait parlé plus d'un. Bon nombre d'entreprises ont accepté de montrer leurs taux de bénéfices par période variant entre 2% et 3,45%. Le principe est assez simple après la considération de certains détails.

Le système

Habituellement, le bénéfice est calculé à la fin de chaque année, ce qui veut dire que l'on fait uniquement attention au grossissement du capital et non au bénéfice acquis à la fin du mois. Les épargnants augmentent en nombre et sont fidélisés parce que les assureurs assument les risques en tout genre, ce qui n'est pas toujours le cas dans d'autres pays. Les fonds sont donc toujours gérés avec prudence, tout en anticipant toute sorte d'éventualités. Leurs investissements sont donc fondés dans tout ce qui est sûr, notamment, les obligations d'Etat. Malheureusement selon les statistiques, le rendement n'était pas suffisant au départ.

Les rapports communs

Les autres affichent un taux élevé (3,45%) contrairement aux nôtres (2%). Ils affirment que leurs produits financiers sont établis de manière à prévoir des baisses de taux sur le marché. Selon leurs dires, il s'agirait de prendre des marges de manière à faire profiter la compagnie au maximum, sans tomber dans le risque de la faillite à cause d'imprévus. Les épargnants Les réserves deviendraient alors des bénéfices si les baisses anticipées ne surviennent pas comme pensé auparavant.

Les intérêts conditionnés

Les fonds en euros permettent des bénéfices sur les contrats d'assurance-vie plus facilement dépendant des prélèvements sociaux et des contrats d'épargne. Comme toute sorte de commerce, plus il y a de consommateurs, plus il y a d'intérêts pour le vendeur. Cependant, tout est à prendre en compte. La santé des épargnants par exemple est un critère de sélection. Si le consommateur risque de perdre la vie dans un futur proche, il est préférable de le laisser passer son chemin. Si ce dernier a des antécédents de maladies suspicieuses, les coûts d'hôpitaux pourraient être élevés et fréquents; il serait donc également préférable de le laisser passer son chemin. Par contre, les plus jeunes ayant encore des conditions physiques idéales sont les plus conviés. Il ne s'agit pas de profit seulement, il s'agit aussi d'économies à long terme pour le consommateur, voilà pourquoi on l'appelle l'épargnant.

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